• M

    J'aime...


    ...rien foutre


    ...les plans ciné de dernière minute


    ...les trombes d'eau qui me font regretter de pas être sortie à poil


     

    J’aime…      

                                                                                                                            

     …passer devant le marché à 15h sans faire gaffe 

    et me prendre une grosse claque


    …les montées en vélo sous la pluie,la goutte au nez
     

    le regard outré des vieilles, sur le bout de ma culotte

    en coton blanc qui dépasse malencontreusement

    de mon fût gorgé d’eau

     

     

    J’aime ma mère qui me reproche d’être sortie sans parapluie

     


    T’as raison maman  …  vive les parapluies


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  • J'crois que les histoires d'amour c'est comme les voyages en train,
    Et quand je vois tous ces voyageurs parfois j'aimerais en être un,
    Pourquoi tu crois que tant de gens attendent sur le quai de la gare,
    Pourquoi tu crois qu'on flippe autant d'arriver en retard.

    Les trains démarrent souvent au moment où l'on s'y attend le moins,
    Et l'histoire d'amour t'emporte sous l'oeil impuissant des témoins,
    Les témoins c'est tes potes qui te disent au revoir sur le quai,
    Ils regardent le train s'éloigner avec un sourire inquiet,
    Toi aussi tu leur fais signe et tu imagines leurs commentaires,
    Certains pensent que tu te plantes et que t'as pas les pieds sur terre,
    Chacun y va de son pronostic sur la durée du voyage,
    Pour la plupart le train va derailler dès le premier orage.



    Le grand amour

    change forcément ton comportement,


    Dès le premier jour faut bien choisir ton compartiment,
    Siège couloir ou contre la vitre
    il faut trouver la bonne place,
    Tu choisis quoi une love story de première ou d'seconde classe.

    Dans les premiers kilomètres tu n'as d'yeux que pour son visage,
    Tu calcules pas derrière la fenêtre le défilé des paysages,


    Tu te sens vivant tu te sens léger

    tu ne vois pas passer l'heure,


    T'es tellement bien que t'as presque envie d'embrasser le controleur.


    Mais la magie ne dure qu'un temps et ton histoire bât de l'aile,


    Toi tu te dis que tu n'y est pour rien et que c'est sa faute à elle,


    Le ronronement du train te saoule et chaque virage t'écoeure,


    Faut que tu te lèves que tu marches

    tu vas te dégourdir le coeur.



    Et le train ralentit et c'est déjà la fin de ton histoire,
    En plus t'es comme un con tes potes sont restés à l'autre gare,
    Tu dis au revoir à celle que tu appelleras désormais ton ex,
    Dans son agenda sur ton nom elle va passer un coup de tipex.

    C'est vrai que les histoires d'amour c'est comme les voyages en train,
    Et quand je vois tous ces voyageurs parfois j'aimerais en être un,
    Pourquoi tu crois que tant de gens attendent sur le quai de la gare,
    Pourquoi tu crois qu'on flippe autant d'arriver en retard.

    Pour beaucoup la vie se résume à essayer de monter dans le train,
    A connaitre ce qu'est l'amour et se découvrir plein d'entrain,
    Pour beaucoup l'objectif est d'arriver à la bonne heure,
    Pour réussir son voyage et avoir accès au bonheur.

    Il est facile de prendre un train encore faut il prendre le bon,
    Moi je suis monté dans deux trois rames mais c'était pas le bon vagon,
    Car les trains sont capricieux et certains sont innaccessibles,
    Et je ne crois pas tout le temps qu'avec la SNCF c'est possible.

    Il y a ceux pour qui les trains sont toujours en grèves,
    Et leurs histoires d'amour n'existent que dans leurs rêves,
    Et y'a ceux qui foncent dans le premier train sans faire attention,
    Mais forcément ils descendront dessus à la prochaine station,
    Y'a celles qui flippent de s'engager parce qu'elles sont trop émotives,
    Pour elles c'est trop risqué de s'accrocher à la locomotive,
    Et y'a les aventuriers qu'enchainent voyages sur voyages,
    Dès qu'une histoire est terminée ils attaquent une autre page.

    Moi après mon seul vrai voyage

    j'ai souffert

    pendant des mois,


    On s'est quitté d'un commun accord mais elle était plus d'accord que moi,

    Depuis je traine sur les quais je regarde les trains au départ,


    Y'a des portes qui s'ouvrent mais dans une gare je me sent à part.

     

    Il parait que

    les voyages en train finissent mal

    en général,


    Si pour toi c'est le cas accroche toi et garde le moral,
    Car une chose est certaine y'aura toujours un terminus,
    Maintenant tu es prévenu la prochaine fois tu prendras le bus.

     

    GRAND CORPS MALADE


    2 commentaires
  • Au bois des vélos, une nappe, du soleil, du vent, une salade de pâtes, un gâteau au chocolat, du vent, des bougies, le meilleur pain de tout Vincennes…..

    Des ours…tiens tiens, c’est ce qu’on appelle de la transmission de pensée…

    Qu’est ce qu’on dit déjà ? Un de perdu, dix de retrouvés  ( j’en ai déjà quatre --> équipée en cas d’averse )

    Un ciel gris dans lequel éclatent les bulles de bonheur, pendant que Grozdanovitch me tend la main à travers la paroi du bocal.

    Une fois sortie, j’apprendrais à apprivoiser le temps en compagnie du chat du rabbin.

    Dur, dur de dire MERCI


    1 commentaire
  • Depuis des temps immémoriaux, le culte de l’ours est l’un des cultes animaliers les + répandus.

    Dès le début, il est l’animal velu, la «  masle beste » ,  une sorte d’homme sauvage.

    Le Christianisme, qui lui préfère le lion, en fera une créature diabolique, méchante.

    Puis l’ours est devenu un animal de cirque, un glouton ridicule.

    Dans nos sociétés modernes, il est présent sous forme de peluche, nounours tout doux adulé des enfants ( nul besoin est de rappeler l’origine du  Teddy bear )

    Finalement, l’ours, c’est pour tout ça qu’on/je l’aime, c’est ce coté « melting-pot » :

    Grand, fort surtout bestial, parfois maladroit et pataud,

    cachant au fond de lui une tendresse infinie qui nous / me fait craquer.

    Parce j’ai toujours autant envie de le prendre dans mes bras …

     


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  •  ptit Medley sauce tristesse façon Fée trempée

     

    One love, one love...killing me softly... always on my mind...

    eight days a week...crue est la vie....

    oh tout est foutu, brisé dans mon crânethere’s a shadow hanging over me...

    je voudrais que tu te rappellesI want to hold your handmais j’ai froid là

    est ce qu’on existe encore ?arrache-moi le cœur, que je ne puisse plus avoir peur

    when i’ll touch you i’ll be happy insideroulent mes larmes aux yeux

    is this love, is this love, is this love that i’m feeling ?et moi chuis là dans mon trou

    please say to me you let me hold your hand

    on m’a ditdonne ton cœur aux oiseaux, oublie tes espérances

    entre hiver et été ça m’revient, j’crois qu’vais avoir du mal à t’oublier

    I think you’ll understand

    je boirais toute l’eau de la mer pour que tu viennes m’aimersimplement comme hier

    on m’a diteverything is gonna be alright…cours camarade, le monde est derrière toi…

     

    alors…j’irais sur les ports valser, puisque le monde va bien

    et que moi j’ai du chagrin

     let it be...

     


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